Cette
étude (1) a été réalisée pendant deux ans, sur 200 rats nourris au
maïs transgénique, ce que les études officielles ne font jamais puisque
les études requises pour évaluer les OGM sont beaucoup plus courtes.
La très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" vient
de publier une étude choc du chercheur Gilles-Eric Séralini Professeur
de biologie moléculaire à l'Université de Caen. Cette étude est une
première : réalisée pendant deux ans, sur 200 rats nourris au maïs
transgénique, ce que les études officielles ne font jamais puisque les
études requises pour évaluer les OGM sont beaucoup plus courtes.
Mot-clé - Produits toxiques
jeudi, 20 septembre 2012
Une nouvelle étude de Gilles Eric Seralini montre un risque accru de cancers chez les rats alimentés aux OGM
Par Caroline le jeudi, 20 septembre 2012, 10:20 - Les articles qui nous intéressent
lundi, 17 septembre 2012
Les Pétitions : les psychopathes prédateurs s'en torchent leur barbecul
Par Caroline le lundi, 17 septembre 2012, 15:02 - Les articles qui nous intéressent
Suite au jugement scandaleux de la Cour Européenne de Justice — qui prouve une fois de plus que ces institutions Européennes sont complètement corrompues et à la botte des banskters, du Cartel de la Chimie, des multinationales biocidaires et autres marionnettes politiques — certains amis de Kokopelli ont pensé qu'il était adéquat de relancer des énièmes pétitions pour la défense des semences libres.
mercredi, 12 septembre 2012
Tous Cobayes ? Le nouveau film choc de Jean Paul Jaud : à voir dès le 26 septembre dans les salles
Par Caroline le mercredi, 12 septembre 2012, 15:43 - Les articles qui nous intéressent
TOUS
COBAYES? - Le troisième film de Jean-Paul Jaud dénonce les OGM et le
NUCLÉAIRE : deux technologies irréversibles, non maîtrisées, anti
démocratiques et que l’on nous impose à force d’opacité et de mensonges.
Sommes-nous tous des cobayes ? A vous de juger dans le prochain film de
Jean-Paul Jaud TOUS COBAYES? qui sort le 26 septembre dans les salles.
mardi, 14 août 2012
L’inquiétant effet cocktail des pesticides sur nos cellules - "Le Monde"
Par Caroline le mardi, 14 août 2012, 14:57 - Les articles qui nous intéressent
Ingérés ensemble, certains produits chimiques deviennent extrêmement nocifs pour la santé
Manger cinq fruits et légumes par jour est bon pour la santé. Ce qui
l’est moins, c’est le «cocktail»de pesticides ingéré par la même
occasion: le mélange de ces substances chimiques peut démultiplier leurs
effets toxiques dans des proportions aussi surprenantes
qu’inquiétantes, selon les résultats d’une étude préliminaire publiée,
vendredi 3 août, dans la revue scientifique PloSOne.
vendredi, 13 juillet 2012
Soutenez la diffusion du prochain film de JP Jaud !
Par Caroline le vendredi, 13 juillet 2012, 10:00 - Les articles qui nous intéressent
TOUS COBAYES ?
Soutenez la diffusion du prochain film de JP Jaud ! Sans vous ce film pourrait ne pas être diffusé et remplir sa mission d'information !
mardi, 19 juin 2012
Pan Europe publie un guide pour mieux consommer 'Halte aux perturbateurs endocriniens dans les assiettes !'
Par Caroline le mardi, 19 juin 2012, 10:33 - Les articles qui nous intéressent
Les
laitues, les tomates, les concombres et les pommes sont les aliments
avec en moyenne les taux de pesticides perturbateurs endocriniens les
plus élevés. Les consommateurs européens pourraient être exposés à 30
résidus de pesticides différents avec des risques d’effets secondaires.
Voici ce que révèle une enquête menée par l’ONG PAN‐Europe, dont
Générations Futures est administrateur, sur la base des données du
rapport annuel de l’Agence de Sécurité Alimentaire Européenne (EFSA).
C’est pourquoi Pan Europe en collaboration avec PAN Germany et Global
2000 a mis en place un guide pour les consommateurs intitulé « Halte à
la perturbation dans les assiettes » . Téléchargeable ici :
http://www.disruptingfood.info/files/PANE_-_2012_-_Consumer_guide_EDC_-_FR.pdf
lundi, 18 juin 2012
La récolte de pommes 2012 !
Par Caroline le lundi, 18 juin 2012, 23:02 - Actualité de nos producteurs
Benoît Piron est producteur et technicien en arboriculture fruitière biologique à la tête de l’EARL Les Vergers de pirouette à Saint-Pardoux. Il réagit aux propos tenus par certains de ses collègues arboriculteurs sur la récolte à venir et apportent quelques précisions.
Comment
s’annonce la future production aux Vergers de Pirouette ?
Benoît Piron :
« Concernant les pommes, il est vrai que l’année s’annonçait très
pessimiste. À la sortie des fleurs, nous nous sommes aperçus à cause des
aléas climatiques que bon nombre d’entre elles coulaient. Aujourd’hui
mon regard est tout autre : certes nous avons de la perte mais soyons
positifs et disons les choses telles qu’elles sont. Certaines variétés
ont été touchées, notamment les clochards, juliet, braeburn, un peu
golden ; mais beaucoup d’autres présentent à ce jour un bon potentiel
comme gala, belchard, goldrush, crimson. Cela dit, je reconnais que
certains producteurs sont plus touchés que d’autres mais en moyenne
cette année, comptons plutôt 30 % de perte et non 60 % comme certains
l’annoncent, ce n’est pas tout à fait la même chose ».
Et pourtant
certains de vos collègues disent le contraire…
« Voilà maintenant 20 ans
que je fais de l’arbo et je crois n’avoir jamais connu de bonne année.
Pourtant nous produisons toujours des pommes, non ? Si la pomme ne
marchait plus, nous aurions déjà arrêté de produire en Gâtine voir même
en France ! »
On dit aussi qu’il y a eu une mauvaise pollinisation et
que les abeilles ne sortaient pas…
« Effectivement, avec les intempéries
et le froid, les insectes pollinisateurs comme les abeilles ont été
retardés dans leur travail. Mais une nouvelle fois, soyons transparents
sur nos méthodes de travail. Exerçant une petite activité apicole, je
peux assurer que nos premières miellées sont équivalentes à celles de
l’an dernier. On peut en conclure que nos abeilles ont bien travaillé ».
Pourquoi ne sont-elles pas allées sur vos pommiers ?
« Au risque
d’en fâcher certains, mais pour être le plus sincère possible avec les
consommateurs, il faut savoir qu’en année pluvieuse les risques de
maladies et ravageurs sont très élevés. L’ensemble de nos interventions
sanitaires ont été plus importantes, gênant ainsi l’appétence des fleurs
pour les abeilles ».
Et en bio c’est différent ?
« Au contraire, comme
les arboriculteurs bio n’ont pas le droit à certains produits de
synthèse, ils ont dû multiplier leurs interventions, notamment les
produits soufrés qui ont un effet répulsif sur les abeilles et bloque la
germination des pollens dans le tube pollinique. De plus aujourd’hui
dans le nouveau cahier des charges bio, de nouveaux produits comme les
neurotoxiques sont autorisés sur nos cultures et sont très dangereux
pour les abeilles et nos insectes pollinisateurs. Alors quand certains
arbo bio sont surpris du mauvais fonctionnement de leurs abeilles, je
préfère en rire, soyons logiques ! »
Le bio que vous nous décrivez n’est
pas si bon que ça…
« En tant que producteurs bio, ça me fait
terriblement mal de dire cela, mais la nouvelle réglementation bio sera à
long terme plus dangereuse que celle du conventionnel. Nous n’avons
aucuns reculs sur les nouveaux pesticides autorisés en bio. Chose
certaine, contrairement aux produits chimiques du conventionnel qui ont
des actions ciblées, ces pesticides utilisés en bio sont des « tues tout
». Quels que soient nos politiques, leur volonté est d’avoir 20 % de
bio pour 2020 : objectifs du Grenelle de l’environnement. Ce bio a pour
but d’alimenter restauration collective, GMS, divers magasins bio comme
les Biocoop… Pour être certain de trouver du bio, il faudra probablement
se tourner vers d’autres labels, comme biocohérence, demeter, etc., et
trouver des producteurs locaux sincères avec une vraie éthique bio… »
lundi, 11 juin 2012
Conférence "Manger autrement : pourquoi ? Comment ?"
Par Caroline le lundi, 11 juin 2012, 23:01 - Nos voisins font des trucs bien !
Proposé par le Conseil Général des Deux-Sèvres - Terre de Sciences
Pourquoi santé et alimentation sont-elles indissociables ? Et comment manger autrement, plus sain pour soi et pour l'environnement ? Se nourrir mieux impose non seulement d'envisager l'alimentation de façon qualitative en mettant en adéquation nos besoins physiologiques essentiels et la santé de la planète mais aussi de changer nos modes de consommation, de devenir consomm'acteurs.
mardi, 3 avril 2012
Le Groupe Léa Nature lance une campagne d'alerte sur la toxicité des pesticides dans l'alimentation
Par Caroline le mardi, 3 avril 2012, 09:40 - Les articles qui nous intéressent
Source : bioaddict.fr
Le Groupe Léa Nature via sa marque "Jardin Bio" lance une campagne de sensibilisation " Pesticides ? Nos enfants n'en ont pas besoin pour bien pousser ! " afin d'alerter les candidats aux élections présidentielles sur la toxicité de ces produits et la nécessité de développer l'agriculture bio.
Un enfant est exposé aux pesticides bien en avant sa naissance.
L'alimentation de la maman intervient, en effet, déjà in utero, dans le
développement embryonnaire.
Ainsi, selon une étude menée par le Dr
Maria José Lopez (Université de Grenade) le placenta contient en
moyenne 8 substances polluantes chimiques différentes, et jusqu'à 15
chez certaines patientes*.
Chez 100% des 308 femmes enceintes
espagnoles entrant dans son étude, ayant ensuite donné naissance à des
enfants en bonne santé entre 2000 et 2002, le Dr Lopez a trouvé au
moins un type de pesticide dans le placenta. Et parmi les plus
fréquents le 1,1-dichloro-2,2 bis (p-chlorophényl)-éthylène (DDE) à
92.7%, le lindane à 74,8% et l'endosulfan-diol à 62.1%.
Selon Maria José Lopez, "on ne connaît pas réellement les conséquences d'une exposition aux pesticides et perturbateurs du système endocrinien chez les enfants, mais on peut prédire qu'ils sont susceptibles de provoquer de sérieux effets puisque l'exposition du placenta se produit à des moments clés du développement embryonnaire".
La France premier pays utilisateur de pesticides
En dépit des recommandations du Grenelle de l'environnement , qui prévoit de réduire de 50% l'usage des pesticides, de retirer du marché les pesticides les plus dangereux et d'augmenter la Surface Agricole Utile (SAU) en bio, la France demeure aujourd'hui le premier pays européen utilisateur de pesticides.
Pourtant, pour le Président Fondateur de Léa Nature, Charles Kloboukoff , " les pesticides ce n'est pas une fatalité ". Il considère en effet qu' " une alternative est possible, qui passe par un engagement politique en faveur d'une agriculture respectueuse et d'une alimentation saine dénuée de pesticides ".
Le groupe demande donc aux candidats à l'élection présidentielle de " prendre en considération ce problème majeur de santé publique en accentuant l'effort de promotion et de mise en oeuvre d'une agriculture de haute qualité environnementale en collaboration avec l'ensemble du monde agricole afin de réconcilier l'homme et sa santé avec l'environnement ".
*" Maternal-child exposure via the placenta to environmental chemical substances with hormonal activity ", M. Lopez Espinosa, université de Grenade, Espagne, 2007.
**92 substances actives pesticides sont classées cancérigènes possibles ou probables par l'UE ou l'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis (US-EPA) - IEW/MDRGF 2004.
Christina Vieira
jeudi, 29 mars 2012
La mort est dans le pré
Par Caroline le jeudi, 29 mars 2012, 20:35 - Les articles qui nous intéressent
Source : Semaine pour les alternatives aux pesticides
Le 17 avril sur France 2 (autour de 22h), sera diffusé un documentaire poignant sur les agriculteurs malades des pesticides.
Réalisé par Eric Guéret, ce documentaire de 52 mn montre le « piège chimique » tendu aux agriculteurs et leurs difficultés à sortir d’un système verrouillé. Les agriculteurs tombent malades, victimes des pesticides qu'ils pulvérisent depuis 50 ans.
Mais des agriculteurs prenent la parole et brisent le silence pour la première fois. Reconnaissance professionnelle de leur maladie, remise en cause des pratiques agricoles, ils nous racontent leur parcours du combattant pour qu'éclate ce scandale sanitaire.
Extraits et interview du réalisateur et de la narratrice du film :
Interview d'Eric Guéret, réalisateur du film sur le site de 20mn
Quelques images du film :
Ce documentaire a été projeté en avant-première le 23 mars à l'Hotel de ville de Paris, dans le cadre du Congrès "Pesticides et santé : quelles voies d'amélioration possibles ?".
N'hésitez pas à faire connaître la diffusion de ce film autour de vous ! Ce documentaire est à voir absolument !
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